rien qu'a deux... comme d'habitude...

ces deux dernier mot lui mirent les larmes au yeux et il se mit a pleuré laissant echappé de gros sanglot

Sébastian sourit.

- ça te fait tant d'effet que ça ? si tu veux je le dis plus ...

Déjà que je le disais pas souvent ...

Kai frappa sur le lit avec ses point

Kaï : J'en ai marre j'en peux plus sébastian!!! je t'aime... je t'aime je t'aime.. j'arrive pas a exprimer mes sentiment... il sont tellement fort j'ai l'impresion de crever de l'interieur... j'en ai marre je veux te le faire sentir a chaque instant a chaque seconde mais le dire n'est pas asser je trouve pas de moyen pour te le faire comprendre... meme si tu le sais.. c'est pas assez... c'est jamais asser... j'en ai marre... je t'aime... je t'aime...
il s'aggripa a lui comme pour ne pas qu'il s'échappe

Sébastian resta abasourdit. En voilà une déclaration ... Il resserra son étreinte sur lui, tentant de le rassurer par sa présence.

- Chut ... je suis là ... quoiqu'il arrive ...

Il murmura ses mots comme un aveux imprononçable. Aveux qu'il n'avait jamais dit à personne, parce que personne ne le lui avait dit.

Kaï : Je t'aime je t'aime je t'aime... comment pourais-je te le montrer a quel point je taime..? Rette mich mein engel.... dit-il en le serrant encore plus

- T'inquiète, je suis là ...

Il posa sa tête sur la sienne, embrassant son front.

Kaï arreta de chouiner et commenca a embrasser chaque parcelle de son corp

Kaï : Je t'aime... je t'aime... je t'aime... répéta-t-il entre ses baiser.

Il alla l'embrasser et s'amusa a a mordiller sa levre inferieur sucant son percing. Pendant qu'il faisait ca, il resouleva son bassin et le pénétra avec violence, urlant de plaisir et de douleur

KaÏ : HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN

Sébastian cria de surprise. Il aimait ce genre de surprise.

kaï : je veux que tu sois mien a jamais... a jamais... aucun autre ou aucune autre ne poura te toucher... a par moi... lui souffla-t-il a l'oreille

Il resortit un peut de lui avant de s'enfoncer a nouveau, allant au plus profond qu'il le pouvait en lachant un crit rauque, il reprit un peut sa respiration et lui souffla a l'oreille a nouveau :

Kaï : Je t'aime tellement que j'en devient possesif et jaloux comme la pire des peste... mais je veux aucunement te partager... tu es a moi... mon ange rien qu'a moi...

Il lui disait ca calmement tout en resortant et rerentrant en lui doucement, plus doucement que les autre fois....

Sébastian l'entendait à peine, et il s'en fichait un peu, il était en lui et c'était ce qui comptait. Lui aussi regrettait tellement de ne pas pouvoir faire le clair en lui, de ne pas pouvoir être clair avec lui. Il l'aimait, oh oui, là n'était pas la question, mais ... il y avait toujours un mais ... il n'arrivait pas à lui dire, à lui avouer cette faiblesse qu'il avait fait naître en lui.

- Je t'aime ... se surprit-il à crier; s'accrochant à lui.

Kaï : Sébastian... Montre moi, dit moi ou fait moi resentire ce que tu n'ose pas montrer... montre moi tout, dit moi tout...

Il voulait qu'il lui dise, il le savait qu'il n'osait se libéré et s'exprimer a sa guise...

Tout lui dire ? maintenant ? toute suite ?

- Je ... commença-t-il.

Etait-ce vraiment le moment ? Là ici ? dans cette chambre d'hôtel ? alors qu'il était encore en lui ? et qu'il ne se sentait pas vraiment en état de faire le trie dans ses pensées ? ...
Il leva une main et caressa son visage baigné de sueur. Il essuya une dernière larme et la lécha.

- Je suis désolé, Kaï ... je ne peux pas mettre de mots sur la tempête que tu as créé en moi ... je n'y vois plus rien, avant j'étais sur de ce que je voulais ... aujourd'hui je ferais n'importe quoi si tu me le demandais ...

Il s'arrêta une seconde.

- Ne me tue pas ... je t'en supplies ...

Kaï sourit et lui déposa un tout petit baiser sur ses levres et se retira doucement de son corp avant de se mettre a coter de lui et de le regarder avant de dire :

Kaï : Ne t'inquiete pas je ne te tuerais pas mon bébé...

Il lui caressa son visage avec douceur

Kaï : Mais un jour tu me diras ce que tu n'ose pas dire ?

Sébastian le sera fort contre lui, la gorge nouée. Il s'en voulait tellement.

- Si tu savais comme je m'en veux ...

Kai ne comprit pas pourquoi

Kaï : mais... pourquoi ?

Une larme roula sur sa joue.

- Parce que ... je peux même pas te le dire ... je suis minable ... j'ai gâché notre week end ...

Kaï : Mais... Mais non voyons... tu n'as rien gaché... Je te l'ai demander a un moment inaproprié c'est tout... aller pleur pas mon bébé...

il lui caressa sa joue pour enlever la larme

Kaï : Je voudrais juste que tu sache que tu ne doit pas avoir peur tu peut tout me dire ce que tu rescent ce que tu pense... tout... tu peut tout me confier... d'accord ?

Sébastian renifla.

- Merci ... je t'aime ... murmura-t-il d'une voix étranglée.

Kai l'embrassa tendrement

Kaï : moi aussi je t'aime... Bon et si maintenan on aller se prendre une douche ? En plus il fait un peut froid... prendre une douche bien chaude sa nous ferait du bien tu pense pa ?

Sébastian grogna, mais se leva quand même. Ils allèrent à la découverte de la salle de bain. Mais le jeune blond n'était pas encore tout à fait remis, il plaqua son amant contre la porte et dévora sa bouche, glissant ses mains jusqu'à ses fesses.

Kai sourit

kaï : Pas calmer ? dit-il en glissant ses main a ses fesse aussi le collant a lui, fesant rencontrer leur deux virilité, ce qui lui fit lacher un petit soupir

Sébastian sourit.

- Jamais avec toi ... susurra-t-il à son oreille.

Il glissa un doigt à l'intérieur de lui doucement, s'émerveillant encore une fois de son étroitesse.

Kaï : Hum... gémit-il en levant la tete vers le plafond en fermant les yeux. Ca tombe bien... moi non plus... dit-il en mettant sa main a sa virilité

Sébastian gémit doucement à son oreille, ravi qu'il s'y mette. Il partit explorer son cou de ses lèvres avides. Il avait la légère impression de n'être qu'un vampire assoiffé de sang. De Son sang.

Kaï : Sébastian.... han.... soupirait-il

Il ne faisait pas attention que depuis quelque instant, il fesait des va et vient doucement mais en serrant de plus en plus sa main, a cose du plaisir qu'il avait en lui